13 RECONNAISSANCE DES BORNES EN PLACE
14) APPERCU SUR LA LIMITE = 64,40 ex
14 a Entre les deux propriétés. Il y a plus de 
13 RECONNAISSANCE DE BORNES EN PLACE
Je soussigné
TARONI Michel né à MERVILLER((54) le 28 février
1930,Technicien supérieur en travaux publics et bâtiments, ex-expert
prés les tribunaux atteste que sont parfaitement visibles sur le
terrain, comme permettent de le constater les photographies
jointes, deux bornes en
granit délimitant deux sections contiguës de la
commune de MERVILLER.
Savoir ; Section E Village de Criviller
Section Haut de la vigne
La Première N° 1 vers le nord à l’intersection des
parcelles 180-186-236 La
seconde N° 2 vers le sud à l’intersection des parcelles 178
–241-257
Description conforme au plan
cadastral et transmis à l’expert désigné sous forme schématique
L’alignement crée entre les deux bornes étant encombré par de la
végétation
j’ai déporté
perpendiculairement vers le couchant et à une distance identique de
6,00 mètres face à chacune des deux bornes un jalon.
Par
ailleurs face à un piquet de fer reconnu par action d’arpentage
comme étant le point A de la limite
séparative entre les parcelles
236 et 237 du plan cadastral.
Dans le prolongement de cette limite et dans le
l’alignement des deux jalons N° 1 & N° 2 déporté de 6,00
mètres vers le couchant j’ai placé un jalon intermédiaire
Ayant ainsi procédé selon la règle de l’art
permettant de déterminer un alignement
Je constate
alors que la distance entre le piquet de fer et le jalon déporté de
6,00 mètres est de 7,55 (sept mètres cinquante cinq )…
…………
J’en conclus que
le piquet de fer n’est pas situé dans l’alignement entre les
bornes N°1 et N° 2 mais accuse un déport de 1,
55.metre vers le levant.
Je certifie sincère ce qui précède.
Merviller le 23 juin 2007 TARONI Michel14) APPERCU SUR LA LIMITE = 64,40 ex

cinquante ans existait et seulement sur une
quinzaine de mètres une clôture avec soutien bois
accusant latéralement une différence de niveau,
toujours visible aujourd'hui cette clôture a
disparu, les occupants vivaient en parfaite harmonie se contentant de respecter la différence
de niveau comme limite.J'ai remis a BOXSTAEL
des photographies de l'époque de cette clôture
à soutien bois, Il utilise trois lignes du rapport
pour qualifier ces photographies de « difficilement
exploitable". En place Il propose que soit entérinée
la position de la clôture existante matérialisée
par des piquets de fer présent sur le terrain ».
(voir photos plus avant) Il s’agit de deux
piquets fer isolés dépourvu de verticalité et
d’alignement qui n’ont rien à voir avec une
clôture sensé régner sur 64.4 m. Je l’ai parfaitement
renseigné sur la fonction passé de ces piquets.
L’un soutenait une caisse bois, dont les cornières
de fixation sont encore visibles, dans laquelle était
journellement déposé un pot de lait, et où le facteur
déposait le courrier. Il apparaît dans le lever effectuer selon les titres de propriétés à 0,45 au sud de la limite,(Voir 12) Cet espace est occupé depuis plus de cinquante ans,dans le jardin TARONI par une touffe vivace de pivoine, nettement visible sur la photographie. Dans son baratin BOXSTAEL occulte totalement mes précisions,
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